Vietnam : cinq à 16 ans de prison pour quatre dissidents accusés de subversion - AFP
Mercredi, le consul général américain, Kenneth Fairfax, a dénoncé un jugement contraire aux "obligations" internationales du Vietnam en matière de droits de l'Homme et appelé à la libération de tous ceux emprisonnés dans le pays pour "l'expression pacifique" de leurs opinions.
De 5 à 16 ans de prison ferme pour activités subversives - RSF
La famille de Nguyen Tien Trung, qui a fait ses études en France, a fait part à Reporters sans frontières de sa profonde déception face à "ce jugement trop sévère pour des activités pacifiques démocratiques. Nous dénonçons l’accusation portée contre Trung d’avoir tenté de renverser le gouvernement car il ne fait qu’exercer les droits d’un citoyen. Son but est d’assurer un avenir meilleur pour le Viêt-nam, démocratique et respecteux des droits de l’homme. Nous allons continuer la mobilisation pour obtenir sa libération au plus vite".
33 ans de prison ferme infligés en quelques heures à des net-citoyens et militants démocrates - RFI
Pour avoir reconnu leurs fautes à l'ouverture du procès, l'avocat Le Cong Dinh et l'ingénieur formé en France, Nguyen Tien Trung n'ont écopé respectivement que de cinq ans et de sept ans de prison. La peine la plus lourde a été prononcée contre le blogueur Thuc qui, à la barre, a refusé de reconnaître ses erreurs. Il fera seize ans de prison.
Vietnam : cinq à seize ans de prison pour quatre dissidents - Le Monde
Mercredi, Le Cong Dinh, 41 ans, et Nguyen Tien Trung, 26 ans, ont reconnu avoir violé la loi, à l'inverse de Tran Huynh Duy Thuc, 43 ans, et Le Thang Long, 42 ans, dont l'accusation a dénoncé l'attitude "défiante" devant la Cour. Tous ont vu leurs peines de prison assorties de résidence surveillée allant de trois à cinq ans.
Le Vietnam condamne des dissidents, l’Occident déplore - RFI
Pendant ce déplacement, François Fillon n’a pas hésité à citer en exemple le Vietnam comme un « modèle de développement en Asie ».
Au détour d’un toast avec son homologue, le chef du gouvernement français a tout de même évoqué la question des libertés. Paraphrasant François Mitterrand, le Premier ministre a dit sa « confiance dans le fait que l’ouverture économique et les réformes allaient de pair avec le renforcement des libertés publiques. »
Mercredi, le consul général américain, Kenneth Fairfax, a dénoncé un jugement contraire aux "obligations" internationales du Vietnam en matière de droits de l'Homme et appelé à la libération de tous ceux emprisonnés dans le pays pour "l'expression pacifique" de leurs opinions.
De 5 à 16 ans de prison ferme pour activités subversives - RSF
La famille de Nguyen Tien Trung, qui a fait ses études en France, a fait part à Reporters sans frontières de sa profonde déception face à "ce jugement trop sévère pour des activités pacifiques démocratiques. Nous dénonçons l’accusation portée contre Trung d’avoir tenté de renverser le gouvernement car il ne fait qu’exercer les droits d’un citoyen. Son but est d’assurer un avenir meilleur pour le Viêt-nam, démocratique et respecteux des droits de l’homme. Nous allons continuer la mobilisation pour obtenir sa libération au plus vite".
33 ans de prison ferme infligés en quelques heures à des net-citoyens et militants démocrates - RFI
Pour avoir reconnu leurs fautes à l'ouverture du procès, l'avocat Le Cong Dinh et l'ingénieur formé en France, Nguyen Tien Trung n'ont écopé respectivement que de cinq ans et de sept ans de prison. La peine la plus lourde a été prononcée contre le blogueur Thuc qui, à la barre, a refusé de reconnaître ses erreurs. Il fera seize ans de prison.
Vietnam : cinq à seize ans de prison pour quatre dissidents - Le Monde
Mercredi, Le Cong Dinh, 41 ans, et Nguyen Tien Trung, 26 ans, ont reconnu avoir violé la loi, à l'inverse de Tran Huynh Duy Thuc, 43 ans, et Le Thang Long, 42 ans, dont l'accusation a dénoncé l'attitude "défiante" devant la Cour. Tous ont vu leurs peines de prison assorties de résidence surveillée allant de trois à cinq ans.
Le Vietnam condamne des dissidents, l’Occident déplore - RFI
Pendant ce déplacement, François Fillon n’a pas hésité à citer en exemple le Vietnam comme un « modèle de développement en Asie ».
Au détour d’un toast avec son homologue, le chef du gouvernement français a tout de même évoqué la question des libertés. Paraphrasant François Mitterrand, le Premier ministre a dit sa « confiance dans le fait que l’ouverture économique et les réformes allaient de pair avec le renforcement des libertés publiques. »
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